La vente au prix courant. البيع يكون بسعر المثل
Paix, miséricorde et bénédictions de Dieu.
Chers membres! Aujourd'hui, le quorum de réception des fatwas est terminé.
Demain, si Dieu le veut, à 6 heures du matin, de nouvelles fatwas seront reçues.
Vous pouvez rechercher dans la section Fatwa ce que vous voulez répondre ou contacter directement
Sur le cheikh Dr. Khaled Al-Muslah à ce numéro 00966505147004
De 10h à 13h
Dieu te bénisse
Fatwas / ِLes ventes et les transactions / La vente au prix courant.
Question
La vente au prix courant. البيع يكون بسعر المثل
Réponse
La louange est à Allah, que la prière, la paix et la bénédiction d’Allah soient sur Son Prophète, ainsi que sur sa famille et ses Compagnons.
Ceci étant dit,
Il peut vendre au prix qu’il souhaite, il n’existe pas de limite dans les gains concernant les transactions commerciales. Cependant, s’il y a un prix en vigueur dans le pays, ce qui est appelé chez les jurisconsultes : le prix courant, dans ce cas il n’est pas permis de dépasser ce prix courant au point de devenir de la tromperie. Par exemple, si ce verre se vend dix riyals dans tous les magasins et que tu te rendes dans un magasin qui te le vend onze riyals, un riyal n’est pas une chose qui pèse sur les gens, on passe et se pardonne ce genre de sommes, les gens ne tiennent pas compte de ces montants. Mais s’il te le vend pour vingt riyals… si tu l’as acheté vingt et que tu le trouves à dix tu diras au vendeur : tu m’as arnaqué mon frère. Comment peux-tu me le vendre vingt alors qu’il se vend dix sur le marché. Dans une telle situation le gain n’est pas permis, sauf si l’on prouve que c’est son prix sur le marché.
Il faut aussi prendre en compte un facteur influent au sujet de ce que l’on peut gagner comme bénéfices, c’est l’emplacement. Celui qui vend sur le trottoir n’est pas comme celui qui vend dans un centre commercial. Il est évident qu’il a des revenus sans avoir de charges, il est donc courant qu’il vende à un prix proche de ce que cela lui coûte. Contrairement à l’autre dont le magasin se trouve dans l’un des plus beaux centres commerciaux.
La louange est à Allah, que la prière, la paix et la bénédiction d’Allah soient sur Son Prophète, ainsi que sur sa famille et ses Compagnons.
Ceci étant dit,
Il peut vendre au prix qu’il souhaite, il n’existe pas de limite dans les gains concernant les transactions commerciales. Cependant, s’il y a un prix en vigueur dans le pays, ce qui est appelé chez les jurisconsultes : le prix courant, dans ce cas il n’est pas permis de dépasser ce prix courant au point de devenir de la tromperie. Par exemple, si ce verre se vend dix riyals dans tous les magasins et que tu te rendes dans un magasin qui te le vend onze riyals, un riyal n’est pas une chose qui pèse sur les gens, on passe et se pardonne ce genre de sommes, les gens ne tiennent pas compte de ces montants. Mais s’il te le vend pour vingt riyals… si tu l’as acheté vingt et que tu le trouves à dix tu diras au vendeur : tu m’as arnaqué mon frère. Comment peux-tu me le vendre vingt alors qu’il se vend dix sur le marché. Dans une telle situation le gain n’est pas permis, sauf si l’on prouve que c’est son prix sur le marché.
Il faut aussi prendre en compte un facteur influent au sujet de ce que l’on peut gagner comme bénéfices, c’est l’emplacement. Celui qui vend sur le trottoir n’est pas comme celui qui vend dans un centre commercial. Il est évident qu’il a des revenus sans avoir de charges, il est donc courant qu’il vende à un prix proche de ce que cela lui coûte. Contrairement à l’autre dont le magasin se trouve dans l’un des plus beaux centres commerciaux.